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lundi 18 février 2013

L'amour bannit l'inquiétude



L'assurance de la provision du Père, qui m'aime, me rend capable de chercher avant tout son Royaume, par amour pour lui. Tout me vient de lui, et non de l'Argent. L'inquiétude fait de moi un idolâtre : 

Nul ne peut être 
en même temps 
au service de deux maîtres, 
car ou bien 
il détestera l'un 
et aimera l'autre, 
ou bien 
il sera dévoué au premier 
et méprisera le second. 

Vous ne pouvez pas servir 
en même temps 
Dieu 
et l'Argent.

C'est pourquoi 
je vous dis: 
ne vous inquiétez pas 
en vous demandant: 
«Qu'allons-nous manger ou boire? 
Avec quoi allons-nous nous habiller?» 

La vie 
ne vaut-elle pas bien plus 
que la nourriture? 
Et le corps 
ne vaut-il pas bien plus 
que les habits?

Voyez ces oiseaux 
qui volent 
dans les airs, 
ils ne sèment 
ni ne moissonnent, 
ils n'amassent pas 
de provisions 
dans des greniers, 
et votre Père céleste 
les nourrit. 

N'avez-vous pas 
bien plus de valeur 
qu'eux?

D'ailleurs, 
qui de vous 
peut, 
à force d'inquiétude, 
prolonger son existence, 
ne serait-ce 
que de quelques instants?

Quant aux vêtements, 
pourquoi vous inquiéter 
à leur sujet? 

Observez les lis sauvages! 
Ils poussent 
sans se fatiguer 
à tisser des vêtements.

Pourtant, 
je vous l'assure, 
le roi Salomon lui-même, 
dans toute sa gloire, 
n'a jamais été 
aussi bien vêtu 
que l'un d'eux!

Si Dieu habille 
avec tant d'élégance 
la petite plante des champs 
qui est là aujourd'hui 
et qui demain sera jetée au feu, 
à plus forte raison 
ne vous vêtira-t-il pas 
vous-mêmes? 

Ah, votre foi 
est encore 
bien petite!

Ne vous inquiétez donc pas 
et ne dites pas: 
«Que mangerons-nous?» 
ou: 
«Que boirons-nous? 
Avec quoi nous habillerons-nous?»

Toutes ces choses, 
les païens 
s'en préoccupent 
sans cesse. 

Mais votre Père, 
qui est aux cieux, 
sait 
que vous en avez besoin.

Faites donc du règne de Dieu
 et de ce qui est juste à ses yeux 
votre préoccupation première, 
et 
toutes ces choses 
vous seront données en plus.

Ne vous inquiétez pas 
pour le lendemain; 
le lendemain 
se souciera 
de lui-même. 

À chaque jour 
suffit sa peine.

Matthieu 6.24-34

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